Résumé :
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On réduit trop souvent la pensée du plaisir à l’épicurianisme. Ce dernier définit une morale, c’est-à-dire un corpus de recommandations à suivre pour être heureux, basée sur une vision très minimaliste du plaisir, à savoir la satisfaction des besoins strictement nécessaire. On oppose bien évidemment le plaisir à la peine. Le plaisir se définit de manière générale comme étant un état émotionnel agréable né spontanément d'une situation donnée, de la satisfaction d'un désir ou de la perspective de cette satisfaction. Il s'exprime à travers l'expérience physique, psychique ou intellectuelle.
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